La jeune tarentine Pleurez, doux alcyons ! […] Oiseaux chers à Téthys ; doux alcyons ! […] fragment « L’épi naissant mûrit de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre, tout l’été, Boit les doux présents de l’aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l’heure présente ait de trouble et d’ennui, Je ne veux pas mourir encore3.