Qui me dira, quand j’entre dans une salle de spectacle, au cinquième acte d’un drame, et que je vois l’héroïne en proie à une sorte de frénésie convulsive, quand j’entends ses cris et ses sanglots, quand elle se tord les mains et souvent se roule à terre, qui me dira si c’est l’amour, la colère ou la douleur qui la pousse à cet excès ?