La disposition dépend presque toujours des circonstances. […] Il est évident, en effet, que les lois de la narration ou de la description ne sont pas celles de l’argumentation ; que les règles qui gouvernent le commencement ne gouvernent pas la fin ; mais qu’on loue, qu’on défende, qu’on propose, qu’on exhorte, ou que, dans un sens opposé, on blâme, on accuse, on réfute, on détourne, les préceptes d’invention, de disposition, d’élocution même, seront à peu près semblables.