Il y a plus : de tous les genres de discours publics, il n’en existe peut-être pas qui demande plus rigoureusement les charmes de l’élocution ; et la raison en est bien simple. […] Que serait-ce donc, si nous mettions ici sous les yeux de la jeunesse les suites fâcheuses que peut entraîner une seule indiscrétion, et le prix dont il a fallu payer quelquefois un discours trop légèrement hasardé ?