Sa réputation comme poëte ne lui a guère survécu, et ses pièces si vantées ne nous offrent aujourd’hui presque aucun charme ; mais, comme prosateur, il a laissé des pages dignes encore d’être relues. […] Je ne vois rien de si digne de pitié que de faire le procès à un mot qui s’est toujours montré bon Français.