Le difficile n’était donc pas de réunir en un seul et même corps ce que ces grands rhéteurs avaient pensé de plus sage et dit de mieux, sur un art qu’ils connaissaient si bien ; mais l’essentiel consistait à donner l’âme et la vie à ce corps de préceptes, naturellement secs et arides ; et c’était le seul moyen de faire un ouvrage neuf sur une matière en apparence épuisée depuis si longtemps.