À ce désordre affreux le ciel n’a point de part, Et du lâche Rufin la ruine exemplaire Prouve qu’il est des dieux, les absout et m’éclaire. Mes yeux sont dessillés ; je saurai désormais Des dieux sur le méchant respecter les décrets : Ils n’élèvent si haut sa fortune trompeuse, Que pour rendre bientôt sa chute plus affreuse. […] Si ce sont les plaisirs que l’on doit aux richesses, Ô dieux !