Car, au nom des dieux, je vous prie, Quel fruit de ce labeur pouvez-vous recueillir ? […] Je ne les blâme point ; je souffre cette humeur : Elle est commune aux dieux, aux monarques, aux belles. Le nectar que l’on sert au maître du tonnerre, Et dont nous enivrons tous les dieux de la terre, C’est la louange, Iris. […] Je supplie les dieux. Démosthène, dans ses plus belles harangues, se met aussi tout d’abord sous la protection des dieux.