Dans les dernières lignes d’un morceau, la prononciation peut devenir plus vive et plus rapide ; alors la voix s’élèvera, le lecteur laissera plus libre carrière à son émotion, il touche au bout, il a moins à craindre de s’abandonner, et il a besoin de frapper plus vivement les derniers coups. […] du moins, dans ses derniers adieux Pergame à ton amour recommande ses dieux ! […] Il venait de communier avec son clergé ; le reste du peuple présent communiait encore, et le pape n’avait pas dit l’oraison dernière. […] Ta dernière pensée est-elle en ce sourire Que la mort sur ta lèvre a cloué de ses mains ? […] Le soleil affaibli vient dorer ces vallons, Je vois Auteuil sourire à ses derniers rayons.