Car il faut démontrer qu’en effet il est permis de tuer dans le cas de légitime défense, et qu’en effet Milon n’a fait que se défendre contre une injuste agression ; le syllogisme ainsi développé prend le nom d’épichérème. […] Quintilien, au commencement du septième livre, développe minutieusement cette idée dans ses rapports avec l’éloquence du barreau.