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71. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374

Un moyen de cette dernière espèce est toujours une imperfection, et bien souvent un grand défaut dans une pièce de théâtre. […] C’est un défaut qu’on a remarqué dans la belle comédie du Gx. […] Elle devient entre les mains de la critique, dit encore l’abbé Sallier, le flambeau dont on éclaire les défauts d’un auteur qui avoit surpris l’admiration. […] L’amour dans une tragédie n’est pas plus un défaut essentiel que dans l’Enéide : il n’est à reprendre, que quand il est amené mal à propos ou sans art…. […] L’affectation et l’obscurité sont encore deux défauts qui seroient insupportables dans la tragédie.

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