Car celui qui est plus fort qu’un seul sera moins fort que deux, et celui qui est plus fort que deux sera moins fort que quatre ; et ainsi les faibles ne craindront rien lorsque, s’aimant les uns les autres, ils seront unis véritablement. […] Ne craignons rien ; nous reverrons le Christ, le Christ sauveur, le Christ libérateur, le Christ qui prend pitié des pauvres, des faibles et des misérables. […] Quiconque craint ou désire quelque chose de la terre, n’est pas libre ; il y a en lui un point où l’on pourra toujours sceller une chaîne.