Je me fatiguerais à te tracer le cours Des outrages cruels qu’il me fait tous les jours. […] ——————————— J’aime mieux un ruisseau qui sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu’un torrent débordé, qui, d’un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.