Souvent il porte ses coups en l’air comme un taureau furieux qui de ses cornes aiguisées va se battre contre les vents4 Quand il manque de prétexte pour attaquer les autres, il se tourne contre lui-même. […] C’est par politesse qu’il dit de Mélanthe : il porte ses coups en l’air ; le duc de Bourgogne battait son valet de chambre.