L’impression dominante qu’il nous laisse est pénible et triste : c’est une âme fébrile dans un corps malade. […] Membre d’un corps de l’État, il y parle peu, mais il vote ; et avec quelle défiance de son esprit !
L’impression dominante qu’il nous laisse est pénible et triste : c’est une âme fébrile dans un corps malade. […] Membre d’un corps de l’État, il y parle peu, mais il vote ; et avec quelle défiance de son esprit !