On comprend assez que le vraisemblable ordinaire convient mieux à l’action dramatique que le vraisemblable extraordinaire. […] Je conviens que cela est impossible. […] On convient en effet qu’il manque d’une certaine vivacité de plaisanterie : il plaît beaucoup plus qu’il ne fait rire. […] Il faut sur-tout que les airs soient bien choisis, et qu’ils conviennent aux sentimens, à la situation des personnages. […] Voilà la vraie éloquence qui convient à la tragédie.