« Il faut convenir que la Poétique d’Aristote est un excellent ouvrage cependant il n’y a rien d’assez parfait pour régler toutes les nations et tous les siècles. […] Dacier : « chacun ajoutant quelque chose à leur beauté, à mesure qu’on découvrait ce qui convenait à leur caractère. » Batteux donne à peu près le même sens.