Elle n’est bonne qu’autant que les sons y conviennent au sens des paroles, et que les paroles y inspirent des sentiments vertueux. […] C’est, dira-t-on, un beau défaut ; c’est un défaut rare ; c’est un défaut merveilleux : J’en conviens ; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus difficiles à corriger. […] Il ne convient pas de le subordonner au caprice individuel.