Or, deux sujets immenses par leur étendue et leur variété s’offrent sans cesse à l’écrivain, l’homme et la nature, l’un et l’autre éternellement les mêmes considérés sous une de leurs faces, éternellement inconstants sous l’autre, séparés en mille rencontres et se touchant par mille points. […] Quoi qu’il en soit, l’étude de l’homme, considéré géographiquement, en quelque sorte, sous le rapport du climat, des races, des localités, contribue à l’invention14.