On peut considérer comme appartenant à cette époque Antiphon, Lysias, Isocrate. […] Les épîtres, toutes littéraires de Boileau, ne peuvent pas être considérées comme des lettres. […] Il considère presque exclusivement la tragédie et l’épopée. […] Socrate n’est pas le seul qui ait considéré comme sœurs la poésie et nos fables. […] N’espérons de soulagement à notre douleur que du temps qui adoucit les plus cuisants chagrins ; toutefois nous devons considérer, dès aujourd’hui, qu’une gloire immortelle va couronner la vie si laborieuse et si pénible de notre pauvre ami.