Mais il y a aussi dans la vie de Franklin de belles leçons pour ces natures fortes et généreuses qui doivent s’élever au-dessus des destinées communes. […] Les sages et les habiles des divers siècles ajoutent sans cesse à ce trésor commun où puise l’humanité, qui sans eux serait restée dans sa pauvreté primitive, c’est-à-dire dans son ignorance et sa faiblesse.