L’époque où les orateurs de Rome commencèrent à déployer des talents réels, ne précéda pas de beaucoup le siècle de Cicéron. […] Cette dégradation commença à se faire sentir dans les écrits de Sénèque ; et il nous faut arriver ensuite jusqu’à Pline le Jeune, pour retrouver, dans son panégyrique de Trajan, quelques étincelles de l’ancienne éloquence.