Je dois aux yeux d’Alcmène un portrait militaire Du grand combat qui met nos ennemis à bas ; Mais comment diantre le faire, Si je ne m’y trouvai pas1 ? […] Sosie, esclave d’Amphitryon, qui l’a chargé de la part du butin destiné à sa femme Alcmène, s’essaye au discours dans lequel il doit raconter le combat de son maître. […] Il ne combat ici que le ridicule de la science prétentieuse et stérile.