N’oublions pas que dans quelques scènes du Menteur (1642), Corneille inaugura la haute comédie, et prépara la route à Molière1. […] Dans le Menteur, Corneille inaugure la haute comédie ; ici, il l’élève au ton de la tragédie.
N’oublions pas que dans quelques scènes du Menteur (1642), Corneille inaugura la haute comédie, et prépara la route à Molière1. […] Dans le Menteur, Corneille inaugure la haute comédie ; ici, il l’élève au ton de la tragédie.