La comédie qu’elle a eu dessein d’attaquer n’est point du tout la comédie que nous voulons défendre : il se faut bien garder de confondre celle-là avec celle-ci. […] Crois-tu qu’il ait épuisé dans ses comédies tout le ridicule des hommes ? […] Mais, marquis, par quelle raison, de grâce, cette comédie est-elle ce que tu dis ? […] Cette comédie, l’École des femmes.. […] Rappelons-nous que Molière lisait ses comédies à sa servante.