Chacun dit du bien de son cœur, et personne n’en ose dire de son esprit. […] Il faudrait qu’ils fissent trop de miracles pour arracher à présent du cœur de tous les capitaines romains l’ambition de régner. […] Plus heureux qui porte en son cœur celles d’un heureux naturel ! […] Et si ce cœur s’ébranle ? […] ô cœur trop obstiné !