J’étais ami de presque tous les esprits, et ennemi de presque tous les cœurs. J’aime mieux être tourmenté par mon cœur que par mon esprit. […] Lorsque cette vertu cesse, l’ambition entre dans les cœurs qui peuvent la recevoir et l’avarice envahit tout2. […] Mon cœur, mon esprit, sont tout à vous, mon cher abbé. […] Au fond, ces deux cœurs sont de la même trempe.