Je dois de tous côtés, sans espoir, sans ressource, Et n’ai pas, grâce au ciel, un écu dans ma bourse. […] ô ciel ! […] Ainsi Racine, dans Andromaque : Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance.
Je dois de tous côtés, sans espoir, sans ressource, Et n’ai pas, grâce au ciel, un écu dans ma bourse. […] ô ciel ! […] Ainsi Racine, dans Andromaque : Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance.