« Malheur à ceux que ce poids-ci regarde, Cria notre homme, et que le ciel m’en garde ! […] « Ô ciel ! […] Les vers suivants, extraits de sa chanson à la reine Marie de Médicis, mère de Louis XIII, donneront une idée de sa poésie : Paissez, chères brebis, jouissez de la joie Que le ciel nous envoie ; À la fin sa clémence a pitié de nos pleurs : Allez dans la campagne, allez dans la prairie, N’épargnez point les fleurs ; Il en revient assez sous les pas de Marie. […] Il lève au ciel les yeux, il s’incline, il s’écrie : « Demandez-le à ce Dieu qui nous donna la vie ! […] Adieu, beau ciel, il faut mourir !