Ce que Jésus-Christ est venu chercher du ciel en la terre, ce qu’il a cru pouvoir, sans se ravilir, acheter de tout son sang, n’est-ce qu’un rien ? […] Était-ce là de ces tempêtes par où le ciel a besoin de se décharger quelquefois ? […] Mais dans le ciel déjà la palme est préparée. […] Quand elle ouvre le ciel, peut-elle sembler dure ? […] C’est peu d’aller au ciel, je veux vous y conduire.