C’est ton cœur, et ton cœur ne te répondra pas1 ……………… O ciel ! […] Le ciel de ses élus devient-il envieux ? […] Si le ciel est désert, nous n’offensons personne ; Si quelqu’un nous entend, qu’il nous prenne en pitié2 ! […] Je voudrais vivre, aimer, m’accoutumer aux hommes, Chercher un peu de joie, et n’y pas trop compter, Faire ce qu’on a fait, être ce que nous sommes, Et regarder le ciel sans m’en inquiéter.