Quand le ciel vous en aurait délivré, vous vous feriez bientôt vous-mêmes un autre Philippe. » (Longin, Traité du sublime, traduction de Boileau.) […] Quand même, dans cette terrible séparation qui se fera un jour, il ne devrait y avoir qu’un seul pécheur de cette assemblée du côté des réprouvés, et qu’une voix du ciel viendrait nous en assurer dans ce temple, sans le désigner, qui de nous ne craindrait d’être ce malheureux ?