Le ciel impitoyable A placé sur leur trône un prince infatigable. […] ——————————— Conti140 n’est plus, ô ciel ! […] Sion jusques au ciel élevée autrefois, Jusqu’aux enfers maintenant abaissée, Puissé-je demeurer sans voix, Si dans mes chants ta douleur retracée Jusqu’au dernier soupir n’occupe ma pensée !