Il se tourne vers la légion chrétienne : « Braves soldats, la fortune de Rome est entre vos mains. […] Aucune frayeur, mais aussi aucune joie, ne paraissait sur le visage des héros chrétiens. […] Les chrétiens aux bêtes ! […] Ni vos bienfaits ni la nature ne réussiront jamais à leur inspirer un amour tel que celui des chrétiens pour leur Dieu ! […] Elle avait la dignité d’une reine et le paisible recueillement, d’une chrétienne.