La mouche, en ce commun besoin, Se plaint qu’elle agit seule, et qu’elle a tout le soin, Qu’aucun n’aide aux chevaux à se tirer d’affaire. […] Çà, messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine. […] Quel plaisir quant le soir, assis devant ma porte, J’entendrai le retour de mes moutons bêtauts, Que je verrai de loin revenir, à pas lents, Mes chevaux vigoureux, et mes belles génisses ! […] Est-ce « à vous ou aux chevaux que je dois savoir gré du chemin que je fais ? […] Puis n’y a-t-il que la mouche du coche qui dise : Cà, messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine ?