Après s’être longtemps cherchée, après avoir tour à tour, sous la Renaissance, imité l’antiquité, l’Espagne, l’Italie, et produit des œuvres charmantes, égales dans leur genre à toutes celles que la main des Valois, guidée par un art étranger, semait alors sur les bords de la Loire et dans les demeures de la royauté, elle s’était enfin trouvée et fixée, pour ne plus relever que d’elle-même et du génie national, au commencement du dix-septième siècle. […] Nous tendons à l’infini de toutes nos puissances ; la mort vient interrompre cette destinée qui cherche son terme, elle la surprend inachevée.