Vous étalez en vain vos charmes impuissants ; Vous me montrez en vain par tout ce vaste empire Les ennemis de Dieu pompeux et florissants. […] Encor s’il commençait un heureux repentir, Que, tout forcé qu’il est, j’y trouverais de charmes ! […] Cependant j’ai quelques charmes Qui sont assez éclatants, Pour n’avoir pas trop d’alarmes De ces ravages du temps. […] Ni l’esprit de votre mère, ni la dignité des manières de votre frère, ni le charme de votre sœur, ni les lumières de M.