Et ailleurs : J’ai vu, Ciel, tu le sais par le nombre des âmes Que j’osai l’envoyer par des chemins de flammes, Dessus les grils ardents et dedans les taureaux, Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. […] Au nord, correspond à ce jardin une vaste cour formée par des bâtiments de ferme très-réguliers, et où chantent des coqs et nasillent des canards qui de temps en temps comparaissent par devant nous.