Le matin Le voile du matin sur les monts se déploie : Vois, un rayon naissant blanchit la vieille tour ; Et déjà, dans les cieux, s’unit avec amour, Ainsi que la gloire à la joie, Le premier chant des bois1 aux premiers feux du jour. […] Ma joie et mon bonheur, et mon âme et mes chants Iront où vous irez, jeunesse ! […] Nous ne donnerons qu’une idée bien affaiblie de ses chants.