Ne me conduisez pas : j’en sais toutes les routes ; Parmi ces bois grandis, je les retrouve toutes ; J’irais, fermant les yeux, et, si rien n’est changé, Au bout du chemin creux de hêtres ombragé, Le château va paraître. […] c’est bien en effet d’un autre ; et, dans son cours, Sur ma tête blanchie imprimant son passage, Le temps n’a pas changé seulement mon visage.