Il est juste d’ajouter que Voltaire fut souvent l’avocat zélé de causes belles à défendre1. […] Tout cela a causé des malheurs qui ne devaient pas naître d’une si légère cause. […] Continuez à défendre votre cause comme je défends la mienne. […] Kœnig était mon ami ; j’avais à la fois le plaisir de défendre la liberté des gens de lettres avec la cause d’un ami, et celui de mortifier un ennemi qui était autant l’ennemi de la modestie que le mien. » 1.