Nul ne représente mieux toutes les passions et tous les talents du xvie siècle, cette époque si féconde en grands caractères et en libres esprits. […] Si les révolutions coûtent cher à un pays, si la guerre civile est un fléau, les ruines les plus tristes qu’elles laissent après elles sont encore celles des consciences, des convictions, des caractères, et de l’honneur même.