Laissons de côté les opinions ; personne n’a le droit de les forcer ; mais réclamons, et réclamons avec courage, contre une proscription qui tient au défaut de mœurs plus qu’au défaut de goût ; et rappelons à la lecture et à l’admiration de ces chefs-d’œuvre ceux que le fond même des choses n’intéresserait que faiblement.