Il brave mes douceurs, il est sourd à ma voix ; Tous les jours il m’éveille au bruit de ses exploits. […] Tels sont les passages suivants : L’enfer s’émeut au bruit de Neptune en furie. […] Voici comment Voltaire a caractérisé le temps où s’accomplit le meurtre de Coligny : Le signal est donne sans tumulte et sans bruit, C’était à la faveur des ombres de la nuit : De ce mois malheureux l’inégale courtière Semblait cacher d’effroi sa tremblante lumière, Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. […] À ces apprêts de guerre, au bruit des combattants, Le cerf frémit, s’étonne, et balance longtemps… Doit-il loin des chasseurs prendre son vol rapide ?