Voici deux vers qui empruntent au contraste une forme touchante : Furieuse elle vole avec un coutelas Vers ce fils innocent qui lui tendait les bras. […] L’enfant tend les bras à sa mère pour la recevoir et l’embrasser ; et cette action naturelle et attendrissante fait ressortir la fureur d’une mère dénaturée. […] L’archevêque, en racontant ceci disait : Si j’avais tenu ce maraud-là, je lui aurais rompu les deux bras et coupé les oreilles.