La conscience Partout nous rendons hommage, par nos troubles et par nos remords secrets, à la sainteté de la vertu que nous violons ; partout un fonds d’ennui et de tristesse inséparable du crime nous fait sentir que l’ordre et l’innocence sont le seul bonheur qui nous était destiné sur la terre. […] Les hommes croient êtres libres quand ils ne sont gouvernés que par les lois ; leur soumission fait alors tout leur bonheur, parce qu’elle fait toute leur tranquillité et toute leur confiance.