Les anciens prêtres se cachaient et disaient la messe dans les bois. […] quand le pille automne aura jauni les bois, Ô mon père ! […] Dans ces bois, altérés de ton souffle, ô Nature ! […] Les voix étaient des plus retentissantes pendant de fortes averses, ou quand la foudre, au milieu du roulement du tonnerre, éclairait l’intérieur du bois. […] Venise prit l’aspect d’une flotte immense, puis d’un bois de hauts cyprès, où les canaux s’enfonçaient comme de grands chemins de sable argenté.