Quoique la langue s’enrichit alors du grec, et que depuis Charles VIII elle tirât beaucoup de secours de l’italien déjà perfectionné, cependant elle n’avait pas pris encore une consistance régulière. […] On doit employer avec beaucoup de discernement les adjectifs relatifs et possessifs, qui, que, son, sa, ses, leur, leurs, et les pronoms il, elle,, leur ; ces mots, jetés au hasard, semblent se rapporter à la fois à plusieurs substantifs, et couvrent la phrase entière d’obscurité. […] » Mais il faut user de ce genre d’ornements avec beaucoup de réserve ; car on tomberait dans les jeux de mots et dans les concetti, si justement reprochés aux auteurs italiens, De la périphrase.