C’est ce qui est plus beau, à la différence de ce qui est moins beau ; car le beau est ou ce qui est agréable, ou ce qui est préférable en soi. […] Du beau et du laid (moral). — Des éléments de l’éloge et du blâme. […] Or, si c’est là le beau, il s’ensuit nécessairement que la vertu est une chose belle ; car c’est une chose louable parce qu’elle est bonne. […] C’est pour cela que l’action juste, la justice, est une chose belle. […] Ce sont autant de circonstances qui font voir sa belle conduite.