qui m’arrêtera sous vos sombres asiles ! […] Jeune imprudent, arrête : où donc est l’ennemi ? […] C’est ceux-là avec qui on s’arrête et on raisonne, au lieu qu’on ne dit que bonjour aux autres. […] Arrête ! […] Mais cependant, mon fils, tu meurs si je n’arrête Le fer que le cruel tient levé sur ta tête.